Lorsque je commence à m’intéresser à un sujet, j’aime parcours la toile pour essayer d’y trouver un forum s’y rapportant. Pour le ukulele, il n’y a pas eu d’exception. Doté de mon ami google, j’ai donc tapé « forum ukulele ».

La première proposition du moteur de recherche m’a renvoyé à cette adresse : Ukulele.fr/forum.

Alors là je me suis décroché la mâchoire. Je savais que la communauté des ukulelistes pouvait être active mais je ne pensais pas qu’un forum francophone puisse attirer sur le sujet autant de contributeurs, de participations intéressantes et de membres actifs érudits. Parcourir ce forum fut donc un vrai bonheur. Chouette, me dis-je, inscrivons nous !!! Sauf que… les inscriptions sont fermées. Heureusement son créateur, grâce lui soit rendue, a eu la grande intelligence de rendre toujours accessibles les dizaines de milliers de messages rédigés pendant dix années. Il aurait été vraiment dommage que ces trésors soient perdus à jamais. Donc même si je garde bien précieusement, je vais continuer à chercher un forum susceptible d’accueillir mes questions de novices.

La deuxième proposition sera donc la bonne avec cette adresse : ukulele-forum.fr.

Digne successeur du premier, et se présentant comme tel, j’ai pu, cette fois-ci, effectuer mon inscription sans aucun problème. Relativement jeune (il est né au début de l’année 2014), ce forum a su attirer à lui d’anciens membres du forum précédent. Certains fils de discussion continus, ou ont été repris, et l’accueil que j’ai pu y recevoir a été tout à fait bienveillant ce qui est toujours agréable, de la part d’anciens et d’éminents contributeurs. Pour le suivre depuis plusieurs semaines, j’ai pu constater que les inscrits sont très souvent prêts à aider les nouveaux venus, qu’ils ne sont pas avares de conseils.

Donc pour résumer, inscrivez-vous sur le forum mais n’hésitez pas à continuer à parcourir le premier, vous y trouverez beaucoup d’informations et de personnes qui méritent d’être connues. Dans un prochain billet, je vous indiquerez les quelques forums anglophones que j’ai pu également découvrir.